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Regard d'apprenti...Thomas Allaix et Denis Delalande...Paroles de tuteur

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Regard d’apprenti...
Thomas Allaix : “ Rassurant et positif “

Avec un grand-père et une sœur ayant fréquenté une école d’ingénieur, Thomas Allaix pouvait difficilement résister à ce qui peut s’apparenter à une vocation familiale. «L’ingénierie m’attirait», confirme-t-il. Alors, quand à l’occasion d’un passage au salon aéronautique du Bourget, il a visité le stand de l’ESIGELEC, il a compris que cette école correspondait à ce qu’il recherchait, la proximité géographique jouant également son rôle.

Après avoir suivi le cycle préparatoire intégré de l’école, et tout ce qu’elle comporte comme partie théorique et scolaire, il a souhaité voir autre chose, prendre le pouls du terrain, aller vers plus de technique. La solution de l’apprentissage pour son cycle ingénieur s’avérait la meilleure, d’autant plus que l’aspect financier n’était pas à négliger. «J’avais vraiment envie de m'orienter vers le monde professionnel, d’être dans le concret. Cela me semblai tun complément parfait à la pédagogie de l’ESIGELEC. Les dominantes permettaient déjà de se rapprocher de ce qu’on rencontre en entreprise, autant aller plus en avant encore dans cette direction».

C’est à une bourse de l’alternance organisée par l’école qu’il a connu son futur employeur. «C’est un temps fort, dans lequel on peut effectuer de nombreux entretiens en un minimum de temps», souligne-t-il. Son CV, son parcours, sa motivation, ont attiré l’attention d’Actemium, filiale du groupe Vinci, spécialisée dans la conception, la réalisation et la maintenance de process et de sites industriels. «L’industrie est un secteur qui m’intéresse depuis longtemps. C’est encore plus séduisant quand on peut rejoindre un grand groupe», remarque Thomas. Il a été positionné sur de la conduite de projet, une spécialisation qu’il recherchait tout particulièrement. «Je suis chef de projet automaticien. Cela signifie que je me concentre sur la réalisation de programmes d’automatisme», détaille-t-il.

  • Une relation plus que constructive

Avant de se lancer, il a fallu se familiariser avec les consignes de sécurité, d’hygiène, de gestion du risque, d’habilitation propres à l’entreprise, puis rencontrer l’ensemble des équipes: «J’ai été très bien accueilli, l’ambiance au sein de l’agence est excellente». Dans le même ordre d’idées, une relation plus que constructive s’est mise en place avec le tuteur: «Il est très pédagogue et compréhensif. Il m’accompagne dans tout ce que je fais. C’est rassurant et positif. Il m’encourage à l'interroger, à ne pas me censurer, pour éviter les erreurs qui peuvent être coûteuses à notre niveau. J’adore ça, car j’ai beaucoup de questions à poser».

La crise sanitaire n’a pas trop impacté l’intégration de Thomas, car il est indispensable d’être physiquement présent sur les chantiers. «On apprend beaucoup mieux sur le terrain», déclare Thomas. «Le service à l’industrie est un domaine très vaste, très varié, on va d’un client à l’autre, c’est très formateur».

Le retour à l’ESIGELEC se passe tout aussi bien. Certes, parfois la charge de travail est dense,mais «C’est très faisable avec de l’organisation». La construction pédagogique de l’ESIGELEC facilite la transition: «De nombreux intervenants sont issus du monde de l’entreprise, cela crée des passerelles entre les deux univers».

Un bilan positif donc, pour Thomas, qui constate que son champ de compétences progresse et qu’il acquiert de nouvelles expertises. «C’est une expérience très utile», conclut-il.

... Paroles de tuteur
Denis Delalande (Vinci) : “ Une vraie implication “

Denis Delalande, ingénieur d’études chez Actemium, diplômé de l’ESIGELEC (promo 2001) n’a pas suivi l’apprentissage lors de ses études. Mais il en mesure aujourd’hui tout l’intérêt au sein de l’entreprise.

Quel est le marqueur d’un bon apprentissage ?

Le but est de pouvoir garder les apprentis, qu’ils poursuivent leur parcours dans notre entreprise. Après trois ans de collaboration, ils connaissent les métiers, l’organisation, les équipes. Ils ont été confrontés à la charge de travail, aux déplacements chez les clients...Ils sont parfaitement opérationnels. Il nous est déjà arrivé de recruter trois apprentis.

Comment abordez-vous le rôle de tuteur ?

Cela demande une vraie implication. Il faut prendre le temps de s’occuper de l’apprenti, de poser les fondamentaux. Cela oblige à mettre en œuvre un aspect pédagogique qui n’est pas forcément une des bases de nos métiers. On doit savoir expliquer des démarches qui nous paraissent évidentes. On apprend la patience... Un jeune qui arrive du lycée, de la prépa, ne possède pas les bases techniques, ne connait pas le monde de l’entreprise. Adapter son discours, être précis, dans le concret, c’est indispensable. Les apprentis ont de fortes capacités à comprendre, à s’ajuster. Mais ils ont aussi tout à apprendre.

Dans les premiers temps, l’accompagnement est donc primordial ?

En effet, on ne les lâche pas dans la nature au début. Pendant la 1reannée, on les intègre au sein des équipes, on leur fait découvrir les différents aspects des métiers, dans les bureaux et sur le terrain. Cela leur permet de bien comprendre tous les tenants et aboutissants. Le contact avec les clients est tout aussi essentiel. Ils font ainsi connaissance avec les entreprises industrielles, ils se familiarisent avec la sécurité, l’administratif, le comportement à avoir, ils comprennent qu'ils font partie intégrante d’une équipe. Petit à petit, ils montent en gamme, avec des missions de plus en plus importantes. On les accompagne vers l’autonomie, pour qu’ils puissent finalement appréhender un projet de A à Z.

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